Détenant une moyenne parfaite de 4,3 sur 4,3, l’étudiante au postdoctorat en éducation Jérémie Blanchette Sarrasin (Ph.D éducation, 2024; M.Ed. éducation, 2018) se distingue tant pour l’excellence de son dossier universitaire que pour la complexité et le caractère ambitieux de ses projets de recherches.
La chercheuse s’intéresse aux fonctions exécutives, au processus d’apprentissage dès la petite enfance, à la neuroéducation, à la motivation et à la persévérance. Parallèlement à ses études doctorales, elle a complété une formation complémentaire en psychologie et a développé une excellente maîtrise d’outils de collecte neurophysiologiques.
Les résultats de ses travaux de recherche dans le domaine du développement cognitif de l’enfant résonnent aux quatre coins du globe. Reconnue pour ses grandes qualités de vulgarisatrice, Jérémie a déjà cinq articles scientifiques à son actif dans des revues prestigieuses à titre de chercheuse principale et quatre autres à titre de coauteure.
Soucieuse de rendre la science accessible, elle accepte régulièrement des mandats pour diriger des activités de formation portant sur ses expertises dans des centres de services scolaires, en plus de jouer un rôle de premier plan dans des activités de transfert des connaissances courues par les professionnels de l’éducation.
«Jérémie est un modèle à suivre pour notre communauté étudiante qui aspire à une carrière en recherche, a souligné Lorie-Marlène Brault Foisy, professeure au Département de didactique. Je suis privilégiée de l’accompagner dans son parcours postdoctoral.»
Sa thèse doctorale, intitulée «Effets d’un enseignement du concept de neuroplasticité sur la motivation, la mobilisation du contrôle inhibiteur et la performance à une tâche contre-intuitive en mathématiques» a été dirigée par Steve Masson et Martin Riopel, professeurs au Département de didactique.