Quelque 25 étudiantes et étudiants de différents cours de langue allemande ont présenté de brefs numéros témoignant des compétences acquises au cours du trimestre d’hiver lors de la troisième édition de la soirée allemande, qui avait lieu le 3 avril dernier au Goethe-Institut de Montréal.
L’activité, à laquelle a assisté une cinquantaine de personnes, a été organisée par la professeure Britta Starcke, directrice du regroupement de langues étrangères de l’École de langues, le professeur d’allemand Sebastian Döderlein et la professeure Juliane Bertrand, responsable de la majeure en langue et culture modernes, dans le cadre du projet «Pérennisation des mesures renforçant le sentiment d’appartenance et la motivation dans les programmes de langue allemande (PARES)».
Au cours de la soirée, la chorale formée dans le cours Allemand I a entraîné l’auditoire dans le canon Abendstille überall. «C’est une expérience hyper motivante d’être capable de performer ainsi en public après un seul cours de langue», témoigne Britta Starcke.
Si certaines personnes avaient choisi d’interpréter des classiques de la littérature jeunesse, comme Der Suppen-Kaspar ou Das Rotkäppchen (Le petit Chaperon rouge), d’autres avaient préparé leur propre scénario mettant en relief divers aspects de la culture allemande. «C’était merveilleux de pouvoir, en une seule soirée, se promener du centre de Berlin au quartier périphérique de Marzahn, faire du tourisme sur l’île de Rügen, participer au Carnaval de Cologne, etc. Quelle belle motivation pour donner envie à nos étudiantes et étudiants de pousser plus loin leur apprentissage de la langue et, peut-être, d’entreprendre un projet de mobilité internationale» a observé la professeure Juliane Bertrand à la fin des présentations.
Tous ces numéros avaient été préparés avec le soutien de l’équipe enseignante formée de Britta Starcke, Sebastian Döderlein, la chargée de cours Josée Lamy et les assistantes d’enseignement Ann-Cathrin Micus et Isabelle Wouters.
La soirée s’est terminée avec un vin d’honneur. «Il s’agit d’un moment déterminant pour permettre à l’ensemble des personnes étudiantes des cours d’allemand de tisser des liens. Cela joue un rôle significatif dans le sentiment d’appartenance qui s’installe au cours de la première session et qui se renforce dans les cours de niveau 2, 3 et 4», conclut Sebastian Döderlein.