Voir plus
Voir moins

Les toits blancs de l’UQAM

Durant la belle saison, il est possible de découvrir les toits blancs de l’UQAM.

Par Valérie Martin

20 juin 2016 à 14 h 06

Mis à jour le 20 juin 2016 à 14 h 06

Toit blanc du pavillon Hubert-Aquin (A).

Près de trois terrains de football, soit 15 819 m2, c’est ce que possède l’UQAM en toits blancs. Ces toits, qui recouvrent les pavillons Judith-Jasmin (J) et Hubert-Aquin (A), réfléchissent la majorité des rayons du soleil et abaissent de plusieurs degrés la température des bâtiments. Contrairement aux toitures traditionnelles faites de bitume et de gravier noir, les toits blancs de l’UQAM contribuent ainsi à la diminution des îlots de chaleur urbains tout en augmentant l’efficacité énergétique des bâtiments. Couverts d’une membrane de bitume d’élastomère recouverte d’une fine couche d’ardoise, ils ont une durée de vie d’environ 20 ans.

Le Pavillon des sciences biologiques (SB) est doté pour sa part d’un toit réfléchissant, lequel augmente également la réflectivité des rayons solaires. Sa surface est de 3 116 m2. Les trois pavillons représentent 34,4 % des toits des bâtiments de l’UQAM.

Il est possible de voir les toits blancs des pavillons Hubert-Aquin et Judith-Jasmin en accédant au 6e étage du pavillon Hubert-Aquin (côté sud du pavillon), devant les ascenseurs. On a une vue partielle du toit réfléchissant du pavillon SB en montant au quatrième étage.