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Dictée P.G.L., 32e édition

L’UQAM a accueilli la Grande finale internationale de ce rendez-vous de la Francophonie.

Par Jean-François Ducharme

24 mai 2023 à 14 h 10

Pas moins de 75 jeunes de cinquième et sixième années du Canada, des États-Unis, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et du Maroc ont participé à la Grande finale internationale de la Dictée P.G.L., le 21 mai dernier, à l’UQAM. Sous le thème «Cultivons un monde juste et égalitaire», cette 32e édition invitait les jeunes à réfléchir et à découvrir de quelle manière la coopération internationale contribue à l’accès à une éducation de qualité égalitaire et inclusive.

Dans la catégorie francophone, Sophie Wilson (École Pierre-Elliot-Trudeau, Toronto), Léonie Motard (Externat Saint-Jean-Berchmans, Québec) et Sara Bernier (École du Sacré-Cœur, Sherbrooke) ont terminé respectivement aux premier, deuxième et troisième rangs de l’épreuve. Olivia Metrakos (Toronto French School, Toronto), Hafsa Benamer (École GreenWood School, Casablanca, Maroc) et Charlotte Tournoux (École The Study, Montréal) ont fait de même dans la catégorie français langue seconde.

Animée pour une 13année par le diplômé François-Étienne Paré (M.A. art dramatique, 2000), la dictée a été lue par le ministre de l’Éducation Bernard Drainville. Le rappeur Aly Ndiaye, alias Webster, avait invité les jeunes à participer au concours d’écriture ludique Rapporte ton message, qui encourageait une utilisation créative du français à travers le rap. Le texte gagnant, écrit par Agathe Pomares de l’école primaire Paul-Bruchési de Montréal, a été mis en chanson par Webster et présenté en primeur lors de la Grande finale internationale.

«Je suis ému et fier de constater que la Dictée P.G.L., après 32 ans d’existence, suscite toujours de l’intérêt auprès des jeunes d’ici et d’ailleurs, a souligné le recteur Stéphane Pallage. Le partenariat entre la Fondation Paul Gérin-Lajoie et notre université est une alliance naturelle. Je salue le courage, la persévérance et les efforts de ces jeunes amoureux de la langue française, qui sont notre avenir et l’avenir de la langue.»