Voir plus
Voir moins

Importante subvention en mathématiques

Le LaCIM est l’un des partenaires d’un projet de recherche international qui a reçu plus de 2,5 millions d’euros.

18 mars 2022 à 13 h 03

Mis à jour le 9 juin 2022 à 13 h 09

Photo: Getty/Images

Le Laboratoire d’algèbre, de combinatoire et d’informatique mathématique (LaCIM) est l’un des partenaires d’un projet de recherche international intitulé «Combinatorial Representation Theory: Discovering the Interfaces of Algebra with Geometry and Topology», qui a reçu une subvention d’un peu plus de 2,5 millions d’euros de l’Engineering and Physical Sciences Research Council (EPSRC), basé au Royaume-Uni. Deux membres du LaCIM, le professeur du Département de mathématiques Hugh Thomas et son collègue de l’Université de Sherbrooke Thomas Brüstle, seront particulièrement impliqués dans ce projet d’une durée de cinq ans. La professeure Karin Baur, de l’Université de Leeds, en Grande-Bretagne, en est la chercheuse principale.

Cette subvention favorisera, notamment, les déplacements de stagiaires postdoctoraux et de chercheuses et chercheurs du LaCIM associés au projet de recherche. De plus, le Laboratoire cofinancera un colloque autour des thèmes du projet.

Le LaCIM est un centre de recherche institutionnel de l’UQAM. Il regroupe des chercheuses et chercheurs, des stagiaires postdoctoraux ainsi que des étudiantes et étudiants dont les thèmes de recherche puisent leurs origines dans la combinatoire et ses liens avec l’algèbre et l’informatique. Le LaCIM est aussi associé au Centre de recherches mathématiques (CRM).

Une équipe internationale de recherche

Les membres de l’équipe de recherche proviennent, entre autres, de la Grande-Bretagne, de l’Allemagne, de la Norvège, de la Suède, des États-Unis et du Québec. Ils possèdent des expertises en algèbre, en géométrie, en topologie et en physique mathématique, et étudient les relations entre ces domaines. Adoptant les perspectives des mathématiques pures, ils développeront des applications en établissant des passerelles vers d’autres domaines de connaissances afin, notamment, de répondre aux besoins des sciences physiques, des sciences de la vie et du génie.