La rectrice Magda Fusaro, accompagnée notamment de sa directrice de cabinet Céline Séguin, a séjourné en Italie du 10 au 17 octobre derniers, où elle a eu l’occasion de rencontrer les dirigeants de cinq établissements universitaires italiens parmi les plus prestigieux de la péninsule. Ces rencontres à l’Université de Rome La Sapienza, à la Politecnico di Torino, à l’Université de Turin, à l’Université de Milan et à l’Université de Bologne ont permis de mieux faire connaître l’UQAM, de consolider les ententes existantes et de discuter de nouveaux projets structurants, notamment des écoles d’été et l’accueil d’étudiantes et étudiants stagiaires.
«Grâce à cette mission, il a été possible de tisser des liens nouveaux, lesquels, dans un proche avenir, devraient donner naissance à des ententes-cadres et à des ententes spécifiques de mobilité étudiante et professorale», affirme Magda Fusaro. Les rencontres ont aussi permis de planifier des activités, en mode présentiel et à distance, pour encourager encore davantage la mobilité entrante et sortante entre l’UQAM et les universités visitées.
Les propositions de l’UQAM concernant la mobilité professorale, entre autres par l’entremise des programmes de «visiting professor», ont suscité beaucoup d’intérêt. «Les universités partenaires de l’UQAM, notamment les universités de Bologne, Milan et Turin, souhaitent véritablement favoriser des échanges en accueillant un ou une professeure de l’UQAM dans leurs murs et vice-versa», indique la rectrice.
La mission a aussi donné lieu au développement de liens privilégiés avec le Centre interuniversitaire d’études québécoises (CISQ), qui a son siège à Bologne et qui compte des antennes à Bari, Florence, Gênes, Milan, Rome, Trente, Trieste, Turin et Venise. Les perspectives de collaboration avec le CISQ sont prometteuses, notamment en ce qui a trait à l’invitation de professeurs et professeures spécialisés en langue, lettres et culture québécoises, l’accueil de lecteurs, lectrices en échange, l’octroi de prix et de bourses d’études, et l’organisation d’activités de recherche et de diffusion.
Selon la rectrice, les retombées, pour une aussi courte mission, avec autant d’universités, sont majeures. Le fait que Magda Fusaro maîtrise parfaitement l’italien a certainement contribué à ce succès, facilitant la tenue de discussions fructueuses pour la consolidation d’ententes existantes et le développement de nouveaux projets.
Soutenue par la Délégation du Québec à Rome, la mission a également été l’occasion de mieux saisir les différentes facettes du rôle des délégués à l’étranger, de bénéficier de leur connaissance du milieu et de leur capacité à soutenir des initiatives scientifiques, souligne la rectrice, qui tient à adresser «un merci vraiment spécial à la Délégation, qui a aidé tant à l’organisation qu’au rayonnement de ces visites universitaires».