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Carrières à suivre

Des diplômés de l’UQAM occupent des postes stratégiques et réalisent des choses remarquables dans toutes les sphères de la société: quelques noms à retenir.

25 mai 2021 à 11 h 05

Mis à jour le 7 juin 2022 à 12 h 11

Série Carrières à suivre

Stéphanie Grammond (B.A. communication, 1995) est, depuis janvier, la nouvelle éditorialiste en chef et responsable de la section Débats de La Presse. Elle est la première femme à occuper ce poste. La journaliste, qui a commencé sa carrière à RDI, a travaillé pendant quatre ans au journal Les affaires avant de faire son entrée à La Presse au tournant des années 2000.

 

 

Une autre diplômée en communication a obtenu une promotion dans le milieu des médias. Claudine St-Germain (B.A. communication, 2006), qui occupait le poste de rédactrice en chef adjointe du magazine L’actualité depuis 2017, a été nommée rédactrice en chef. Elle avait précédemment travaillé au magazine Coup de pouce, comme responsable des reportages, puis rédactrice en chef.

 

Une troisième diplômée en communication qui occupe un poste clé dans l’univers médiatique, la rédactrice en chef du Devoir Marie-Andrée Chouinard (B.A. communication, 1993), vient de remporter le prix Jules-Fournier du Conseil supérieur de la langue française, qui récompense chaque année un professionnel des médias pour la qualité de ses textes. Le jury a retenu sa grande maîtrise de la langue, l’efficacité de son écriture ainsi que l’élégance de son style. Journaliste au quotidien depuis 1996, Marie-Andrée Chouinard a été tour à tour reporter, éditorialiste et chef de division avant d’être nommée directrice de l’information et rédactrice en chef en 2018.

Arrivé à la Banque Nationale en 1998, Laurent Ferreira (B.Sc. économique, 1994) y a assumé plusieurs fonctions de leadership aux Marchés financiers, agissant jusqu’à récemment à titre de cochef du secteur. Il a été nommé en janvier dernier chef de l’exploitation et se joindra au conseil d’administration. Selon le quotidien La Presse, cela le place en bonne position pour succéder à Louis Vachon, président et chef de la direction.

 

Après un bref passage au poste de vice-président, stratégies d’entreprises et développement des affaires, à Hydro-Québec, Martin Imbleau (LL.B., 1995) est devenu en janvier dernier le nouveau président-directeur général de l’Administration portuaire de Montréal. Il avait auparavant occupé différents postes de direction et de vice-présidence chez Énergir pendant près de 20 ans. Martin Imbleau est président du Conseil de direction de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques.

Ani Castonguay (B.A. communication, 2000), première vice-présidente, affaires publiques, à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), a été nommée dans le palmarès des 100 femmes les plus influentes du Canada par le Women’s Executive Network (WXN). Au service de la CDPQ depuis 2009, Ani Castonguay a précédemment travaillé pour de grandes firmes telles que Bombardier et BCE. Responsable du rayonnement des affaires et des initiatives philanthropiques, elle siège au comité de direction et au conseil d’administration de l’Espace CDPQ.

Également à la Caisse de dépôt et placement du Québec, Yvon Roy (B.A.A., 1981) agit aujourd’hui à titre de premier directeur, investissement, après avoir occupé différentes fonctions de direction depuis 2016. Avant d’entrer à la CDPQ, il avait accumulé près de 20 ans d’expérience en gestion financière, notamment chez Lumenpulse et ProDrive Systems. Il est président de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal.

 

Frédéric Pérodeau (B.Sc. économique, 1994) occupe désormais le poste de juge puîné de la Cour supérieure du Québec pour le district de Montréal. Il a auparavant assumé plusieurs responsabilités importantes à l’Autorité des marchés financiers, où il est entré en 2012. Il a également été associé au cabinet McCarthy Tetrault, où il a travaillé de 1998 à 2010, et conseiller juridique chez SNC-Lavalin, de 2010 à 2012.

 

Cheffe des projets scientifiques pour le Québec de la Fondation David Suzuki depuis 2016, Louise Hénault-Ethier (Ph.D. sciences de l’environnement, 2016) a été nommée professeure associée et directrice du Centre Eau Terre Environnement à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS). Vulgarisatrice appréciée des médias, elle a travaillé sur des dossiers comme le recyclage, la protection du Saint-Laurent, les énergies renouvelables et l’agriculture durable. Dans le dossier des pesticides, elle a coordonné la publication et la diffusion d’une étude, en partenariat avec Parkinson Québec, qui a mené en 2021 à la reconnaissance par le gouvernement québécois de la première maladie professionnelle des agriculteurs victimes des pesticides.

Isabelle Ducharme (M.B.A., 2008) est devenue la première femme à occuper le poste de directrice générale de Sports Québec. Oeuvrant depuis 25 ans dans le milieu sportif, la gestionnaire était directrice générale de la Fédération de natation du Québec depuis 2014. Auparavant, elle avait travaillé à Sports Québec pendant cinq ans, notamment à titre de directrice des programmes. 

 

 

Catherine Girard Lantagne (B.A. art dramatique, 2006) a été nommée directrice de la programmation du Partenariat du Quartier des spectacles, un poste qu’elle occupait par intérim depuis septembre dernier. Celle qui a commencé sa carrière dans l’univers du théâtre navigue depuis 2002 dans le milieu des événements, du Festival Voix d’Amériques (FVA) à Juste pour rire, en passant par les festivités du 375e Montréal. Elle a travaillé comme consultante pour diverses organisations, dont le Conseil des arts de Montréal et Sid Lee.

Auparavant vice-président, communications corporatives et affaires publiques, pour le Québec de l’agence de relations publiques Citoyen, François Vaqué (B.Sc. sciences économiques, 1995) a été nommé directeur général et vice-président principal. Comptant une expérience de 20 ans en communication stratégique, François Vaqué a notamment été vice-président mondial du marketing et des communications du cabinet KPMG international.

 

Le professeur du Département d’études urbaines et touristiques de l’ESG UQAM Juste Rajaonson (Ph.D. études urbaines, 2017) a été nommé vice-président du Conseil interculturel de Montréal (CIM) en décembre dernier. À ce titre, il aura pour mandat de conseiller la Ville sur les questions de diversité et d’inclusion. Instance municipale consultative indépendante, le CIM est constitué de 15 membres bénévoles, représentant la diversité culturelle de la métropole.

Odile Joannette (B.A. communication, 2001) avait pris, en 2018, la succession de Manon Barbeau (B.Sp. animation culturelle, 1974) à la tête du Wapikoni mobile, cet organisme voué à la création autochtone. Elle vient d’être nommée directrice du programme «Créer, connaître et partager: arts et cultures des Premières Nations, des Inuits et des Métis» au Conseil des arts du Canada. Au cours de sa carrière, Odile Joannette s’est impliquée chez Femmes autochtones du Québec, elle a travaillé à l’ouverture du premier Centre de la petite enfance autochtone à Montréal, elle a cofondé le RÉSEAU de la communauté autochtone à Montréal ainsi que DestiNATIONS: Carrefour international des arts et des cultures autochtones. Elle a également travaillé pendant 10 ans en emploi et formation à l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL).

Carole David (M.A. études littéraires 1986) a reçu le prix Athanase-David 2020 dans la catégorie Culturelle. Ce prix, la plus haute distinction remise par le gouvernement du Québec, est une consécration, mais il est loin d’être le premier reçu par l’écrivaine, dont presque chacun des 19 ouvrages ont été primés. Reconnue pour son style hybride, entre la prose et la versification, Carole David a enseigné la littérature au Cégep du Vieux-Montréal jusqu’en 2009, moment où elle a pris sa retraite pour se consacrer à l’écriture.

Professeur à l’École polytechnique de Montréal, Samuel Pierre (M.Sc. mathématiques, 1985) est lauréat du Grand Prix d’excellence professionnelle 2020 de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Cette distinction récompense l’ensemble de sa carrière. Depuis plus de 30 ans, Samuel Pierre travaille sur des projets originaux qui ont permis de trouver des solutions à des problèmes complexes, par exemple la réduction de l’impact écologique des systèmes infonuagiques.

Marie-France Bellemare (B.T.S., 1999), qui œuvrait depuis quatre ans en tant que conseillère au TIESS (Territoires innovants en économie sociale et solidaire), est la nouvelle directrice générale d’Insertech, une entreprise d’insertion à but non lucratif qui forme des jeunes adultes sans emploi, tout en donnant une deuxième vie au matériel informatique récupéré des entreprises.

 

 

Julie Desharnais (B.T.S., 2001) a travaillé comme directrice générale adjointe de la Fondation du Dr Julien pendant 10 ans avant d’occuper des postes de direction à la Société canadienne du cancer. Elle a pris, en janvier dernier, la direction générale de la Fondation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont.

 

 

Christine Dufresne (M.A. muséologie, 2001), qui était chargée de projet à Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal depuis 2005, occupe désormais le poste de directrice des expositions, technologies et multimédia.

 

 

 

L’Association des Tours Opérateurs du Québec (ATOQ) a une nouvelle directrice générale en la personne de Nathalie J. Guay (B.A.A., 1990). Depuis 1997, la gestionnaire avait assumé plusieurs rôles de direction au sein du regroupement international d’agences de voyages Ensemble Travel Group/Réseau Ensemble.

 

 

Depuis janvier dernier, Sarah Belleville (B.A. design graphique, 2008) est la nouvelle directrice générale de l’Orchestre symphonique de Laval. De 2013 et 2017, elle avait occupé le même poste au Studio de musique ancienne de Montréal, avant de devenir directrice générale adjointe d’Odyscène, un diffuseur de spectacles.

 

 

Avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec auprès de l’honorable Patrick Healy depuis juin 2019, Me Fannie Tanguay (LL.B., 2018) a été recrutée pour travailler comme auxiliaire juridique à la Cour suprême du Canada en 2022-2023, auprès du juge Russell Brown. D’ici là, l’avocate se rendra au Royaume-Uni, où elle effectuera une maîtrise en droit. Très impliquée dans la collectivité, Fannie Tanguay a œuvré au sein de la Clinique juridique itinérante, de la Clinique juridique de l’UQAM et de plusieurs organismes communautaires.

L’auteure Marie-Andrée  Arsenault (M.A. études littéraires, 2011) a remporté le Prix Harry Black de l’album jeunesse, remis par le Centre du livre jeunesse canadien et Communication-Jeunesse, pour Des couleurs sur la Grave (Éditions Morue verte). Il s’agit de son cinquième livre pour la jeunesse.

 

 

Présidente et cofondatrice de Cook It, une entreprise montréalaise de repas prêts à cuisiner, Judith Fetzer (B.A.A., 2013) a été couronnée deux fois lors des derniers Prix femmes d’affaires du Québec. Elle a remporté le prix dans la catégorie Entrepreneure, grande entreprise — Prix Demers Beaulne, ainsi que le prix Coup de Cœur Desjardins COVID-19. Catherine Privé (B.A. psychosociologie de la communication, 1993), présidente et chef de la direction d’Alia Conseil, une firme de développement organisationnel, a reçu le prix dans la catégorie Entrepreneure, moyenne entreprise —  Prix Banque de développement du Canada. Stéphanie Trudeau (B.A. communication, 2001), vice-présidente exécutive pour le Québec chez Énergir, a été récompensée dans la catégorie Cadre, dirigeante ou professionnelle, entreprise privée — Prix Investissement Québec. Cette dernière a aussi remporté le prix EnviroLys, remis par le Conseil des entreprises en technologies environnementales du Québec, qui récompense la promotion du développement durable.

Toutes les nominations et distinctions des diplômés de l’UQAM qui sont portées à l’attention du Bureau des diplômés sont annoncées dans son bulletin ainsi que sur le site du Bureau, dans la section Nouvelles des diplômés.