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Meilleurs écrits politiques 

Deux doctorants et une diplômée parmi les lauréats des Prix du livre politique 2018.

13 avril 2018 à 11 h 04

Mis à jour le 7 juin 2022 à 10 h 40

Félix Mathieu et François Gendron, vice-président de l’Assemblée nationale.Collection Assemblée nationale, photographe Clément Allard

Deux doctorants et une diplômée de l’UQAM figurent parmi les lauréats des Prix du livre politique 2018, décernés le 12 avril dernier dans le cadre du Salon international du livre de Québec. Ces prix leur ont été remis par le vice-président de l’Assemblée nationale, François Gendron.

Le doctorant en science politique Félix Mathieu remporte le prix Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec / Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères pour son livre Les défis du pluralisme à l’ère des sociétés complexes. La bourse lui permettra de participer, en 2019, à la Journée du livre politique organisée par l’Assemblée nationale de France et servira à couvrir les frais de transport et de séjour d’une semaine à Paris. Dans le cadre d’un partenariat France/Québec, ce prix est remis à un candidat aux Prix de la présidence ou aux Prix de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant pour la qualité d’une œuvre portant sur la politique québécoise contemporaine.

François Gendron et Arnaud Theurillat-Cloutier
Collection Assemblée nationale, photographe Clément Allard

Le doctorant en sociologie Arnaud Theurillat-Cloutier a remporté le Premier Prix de la présidence de l’Assemblée nationale, assorti d’une bourse de 5 000 dollars, pour son livre Printemps de force. Une histoire engagée du mouvement étudiant au Québec (1958-2013)Les prix de la présidence de l’Assemblée nationale soulignent la qualité et l’originalité de livres portant sur la politique québécoise publiés au cours de la dernière année.

Isabelle Bouchard et François GendronCollection Assemblée nationale, photographe Clément Allard

La diplômée Isabelle Bouchard (Ph.D. histoire, 2017) a remporté le Premier Prix de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant pour sa thèse intitulée «Des systèmes politiques en quête de légitimité : terres « seigneuriales », pouvoirs et enjeux locaux dans les communautés autochtones de la vallée du Saint-Laurent (1760-1860)». Ce prix, assorti d’une bourse de 3000 dollars, récompense l’étudiant auteur de la meilleure thèse de doctorat portant sur la vie politique québécoise.