L’UQAM participera dès le 28 janvier au premier Salon virtuel de l’étudiant, organisé par l’Événement Carrières et le Journal Métro, en collaboration avec IMASTE. Ce salon, qui se déroulera jusqu’au 28 mars, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, consiste en une plateforme en 3D accessible gratuitement depuis Internet. «C’est la première fois que nous participons à ce genre d’événement virtuel», souligne Chloé Girard, conseillère en recrutement étudiant au Bureau du recrutement.
Les visiteurs de ce salon virtuel doivent s’inscrire pour accéder à la plateforme virtuelle. Ils accéderont ensuite à un hall d’accueil où ils pourront choisir, comme dans un véritable événement de recrutement, entre le pavillon Formation, le pavillon Métier, l’Espace multimédia et le kiosque d’information de l’événement. «Nous aurons une vidéo promotionnelle dans l’espace multimédia et les visiteurs pourront visiter notre stand dans le pavillon Formation, explique Chloé Girard. Un onglet “recherche” permettra aussi de nous retrouver.»
Il sera possible pour les visiteurs de passer un test d’orientation pour découvrir les établissements et les programmes qui leur conviennent le mieux. Le pavillon Formation regroupera toutes les institutions – cégeps, centres de formation professionnelle et universités – participant au salon virtuel, chacune étant identifiée par son logo. Une fois à l’intérieur du stand de l’UQAM, on retrouvera de nombreuses icônes donnant accès à une foule de renseignements: brochures et documents d’admission, site Web de l’UQAM, galerie de photos, témoignages, etc.
Il y aura également dans le stand une icône «clavardage». Une conseillère en recrutement participera aux deux séances de clavardage en direct qui auront lieu le 28 janvier, de 10 h à 20 h, et le 29 janvier, de 10 h à 17 h.
Le stand de l’UQAM sera accessible pendant toute la durée du salon virtuel, jusqu’au 28 mars. «Cette expérience nous permettra d’évaluer la pertinence d’organiser dans le futur ce type d’événement pour l’UQAM, par exemple pour les étudiants étrangers ou tous ceux qui ne peuvent pas se déplacer», souligne Chloé Girard.