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Finaliste à l’ACFAS

Louise Hénault-Éthier représentera l’UQAM à la finale nationale du concours Ma thèse en 180 secondes.

1 avril 2014 à 15 h 04

Mis à jour le 7 juin 2022 à 12 h 14

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Louise Hénault-Éthier, étudiante au doctorat en sciences de l’environnement, a remporté la finale uqamienne du concours Ma thèse en 180 secondes. Photo: Nathalie St-Pierre.

Louise Hénault-Éthier, étudiante au doctorat en sciences de l’environnement, a été choisie par un jury pour représenter l’UQAM à la  finale nationale du concours Ma thèse en 180 secondes, qui se tiendra dans le cadre du 82e congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS), le 14 mai prochain, à l’Université Concordia. Elle a reçu une bourse de 500 dollars.

L’étudiante et ses cinq concurrents (un autre de la Faculté des sciences, deux de la Faculté des sciences humaines, un de la Faculté de science politique et de droit et un de la Faculté des arts) disposaient de 180 secondes pour exposer leur projet de recherche lors de la finale uqamienne du concours, qui a eu lieu aujourd’hui à l’Université, devant public. Celui-ci pouvait voter pour son candidat préféré. Jérémie Poupart-Montpetit, doctorant en sciences de l’environnement, a été l’heureux élu et a reçu une bourse de 100 dollars.

Le projet de recherche de Louise Hénault-Éthier porte sur les plantations de saules dans le bandes riveraines en milieu agricole. Ces bandes de trois mètres de large peuvent servir de remparts contre la pollution et permettre d’allier protection de l’eau et agriculture durable, a-t-elle expliqué.

Les étudiants, qui n’avaient droit qu’à une seule image pour les aider dans leur exposé, devaient présenter leur sujet de recherche en des termes simples, clairs, concis et convaincants, devant un auditoire profane et diversifié.

Les membres du jury – Sophie Malavoy, directrice du Cœur des sciences, Jean-Pierre Richer, conseiller au vice-recteur à la Recherche et à la création, Jean-Hugues Roy, journaliste et professeur à l’École des médias – se sont basés sur trois critères pour évaluer les présentations : la capacité de vulgarisation,  la capacité de communiquer oralement et celle de transmettre sa passion pour son sujet d’étude.

Finale nationale

Organisé par l’ACFAS, ce concours d’éloquence, qui en est à sa troisième édition, s’adresse aux étudiants de troisième cycle de l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur au Canada. Le 14 mai prochain, la finale nationale réunira des étudiants de 18 universités québécoises et canadiennes. Elle couronnera trois lauréats qui recevront des prix de 1 500, 1 000 et 750 dollars. Un prix du public, d’une valeur de 500 dollars, sera également décerné. Par la suite, les gagnants participeront à la finale internationale qui se déroulera pour la première fois à Montréal, à l’automne 2014, avec des étudiants de France, de Belgique et du Maroc.