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Les professeurs Georges Leroux et Louise Dupré, lauréats d’un Prix littéraire du Gouverneur général

15 novembre 2011 à 19 h 11

Mis à jour le 7 juin 2022 à 12 h 21

Logo des Prix littéraires du Gouverneur généralGeorges Leroux, professeur émérite du Département de philosophie, et Louise Dupré, professeure honoraire du Département d’études littéraires, ont reçu le Prix littéraire du Gouverneur général, dans les catégories Essai de langue française et Poésie. Chaque prix est accompagné d’une bourse de 25 000 $.

Photo: Nathalie St-Pierre” href=”/upload/images/nouvelles-2011/11_novembre_2011/Leroux_NathalieSaintPierre_UQAM_LP.jpg”>Leroux_NathalieSaintPierre_UQAM_LP

Georges Leroux, professeur émérite du Département de philosophie, et Louise Dupré, professeure honoraire du Département d’études littéraires, ont reçu le Prix littéraire du Gouverneur général, dans les catégories Essai de langue française et Poésie. Chaque prix est accompagné d’un montant de 25 000 $.

Abordant le thème de la souffrance humaine, l’essai de Georges Leroux Wanderer: essai sur le Voyage d’hiver de Franz Schubert, publié aux Éditions Nota bene, relate la vie du compositeur Franz Schubert qui, près d’un an après la mort de Beethoven, envisage avec effroi sa propre fin. Le professeur nous convie dans cet ouvrage à une méditation sur l’existence, en ayant recours notamment à la poésie et à la photographie.

Georges Leroux a enseigné notamment l’histoire de la pensée grecque à l’UQAM, de 1969 à 2006. Connu internationalement comme helléniste et traducteur de Platon et de Plotin, le professeur est l’auteur de nombreux ouvrages sur la philosophie ancienne, le platonisme et l’histoire des religions. Certains de ses livres ont été traduits en anglais et en japonais. Il a également publié des études sur l’art et la musique, tout en collaborant à plusieurs revues et journaux, dont la revue Spirale, qu’il a dirigée pendant plusieurs années, et le journal Le Devoir. Membre de la Société royale du Canada, Georges Leroux a été professeur invité dans plusieurs universités européennes et américaines.

Photo: Jean-Pierre Masse” href=”/upload/images/nouvelles-2011/11_novembre_2011/Dupre_Louise_Lg.ashx.jpg”>Louise Dupré <br />Photo: Jean-Pierre Masse” src=”https://actualites.uqam.ca/upload/images/nouvelles-2011/11_novembre_2011/thumbnails/thumb_Dupre_Louise_Lg.ashx.jpg” width=”120″ height=”120″ /></a>Paru aux Éditions du Noroît, le recueil de poésie <em>Plus haut que les flammes</em> de <strong>Louise Dupré</strong> aborde le quotidien des camps d’extermination d’Auschwitz et de Birkenau. L’auteure questionne l’expérience de la douleur évoquée par les lieux de l’horreur extrême, pour en arriver à une vérité des plus humaines.</p>
<p>Louise Dupré, également professeure associée au Département d’études littéraires, est l’auteure d’une vingtaine de titres, dont les recueils de poésie <em>Tout près</em> (1998), <em>Une écharde sous ton ongle</em> (2004) et le roman<em> La memoria</em> (1996). Le recueil de poésie <em>Plus haut que les flammes </em>a obtenu le Grand Prix Quebecor lors de l’édition 2011 du Festival international de la poésie de Trois-Rivières. Membre de l’Académie des lettres du Québec et de la Société royale du Canada, l’auteure s’intéresse à la création littéraire et à la littérature au féminin.</p>
<p>Les finalistes des Prix littéraires du Gouverneur général sont choisis par des comités d’évaluation, dont les membres sont nommés par le Conseil des Arts du Canada. Cette année, près de 700 ouvrages en français ont été soumis au concours.</p>
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