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La Banque Scotia fait un don de 500 000 $ à l’Institut d’études internationales de Montréal

3 janvier 2010 à 14 h 01

Mis à jour le 28 novembre 2011 à 10 h 11

Photo : Denis Bernier.” rel=”shadowbox”>don_IEIMUn don de 500 000 $ a été octroyé par la Banque Scotia à l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM), lors du Forum Annuel de l’IEIM, en présence notamment de la première vice-présidente Québec et Est de l’Ontario de la Banque Scotia, Diane Giard; du vice-recteur à la vie académique, Robert Proulx; du directeur de l’IEIM, Dorval Brunelle; du président du Conseil de l’IEIM, Bernard Derome; et de la directrice générale de la Fondation de l’UQAM, Diane Veilleux. L’Institut a également profité de l’occasion pour annoncer la nomination de Bernard Derome à la présidence de son Conseil d’Institut.

«Des appuis comme celui-là permettent de rester actif, d’innover, de se développer et de faire avancer la réflexion sur les enjeux mondiaux», a déclaré le vice-recteur Proulx. Il a de plus rappelé que l’IEIM favorise le rayonnement de l’UQAM dans une discipline où elle a su se tailler une place de choix et une réputation de calibre international.

Pour sa part, Mme Diane Giard a remercié le directeur de l’IEIM et a réitéré l’importance du travail de l’Institut pour la société québécoise. «Nous avons à cœur de contribuer à l’enrichissement de notre société, qui passe inévitablement par l’éducation, l’innovation et la créativité. Étant la Banque canadienne la plus internationale, nos rapprochements avec l’Institut sont évidents», a ajouté Mme Giard, une diplômée de l’ESG UQAM (MBA, 2001) très engagée auprès de l’UQAM.

L’Institut d’études internationales de Montréal

Créé en 2002, l’IEIM réunit des spécialistes de différents milieux, notamment des juristes, des politologues, des sociologues et des économistes, au sein d’une même organisation vouée à la recherche et à la formation dans le domaine des études internationales. L’Institut regroupe 12 unités de recherches dont les activités se déploient dans les quatre axes suivants : mondialisation et gouvernance; sécurité et diplomatie; identité, citoyenneté et diversité; et, enfin, droit international et droits humains.