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Luc Hamelin, directeur adjoint du Service de la prévention et de la sécurité, à la tête de l’Association internationale de l’hygiène du travail

18 novembre 2009 à 18 h 11

Mis à jour le 8 novembre 2010 à 16 h 11

Luc Hamelin, directeur adjoint du Service de la prévention et de la sécurité de l’UQAM, a été élu à l’unanimité président de l’Association internationale de l’hygiène du travail (IOHA) pour la période 2010-2011. C’est la première fois depuis la création de l’Association à Montréal, en 1987, qu’un Canadien est nommé à la tête de cet organisme international, qui compte 26 organisations membres et représente 20 000 hygiénistes du travail. L’IOHA est reconnue par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Luc Hamelin (certificat en gestion du personnel et des relations du travail, 1991) siège également comme directeur (Québec) au sein du Conseil canadien d’agrément des hygiénistes du travail (CCAHT), qu’il a présidé à deux reprises entre 2005 et 2007. Diplômé de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM (1990), il détient également une maîtrise en sciences appliquées (McGill, 1991) et une autre en environnement (Sherbrooke, 2002). Pendant plus de 20 ans, il a occupé des postes de professionnel et de gestionnaire dans divers secteurs, notamment dans les industries manufacturières et le secteur public.

Le domaine de l’hygiène du travail touche à l’anticipation, à la reconnaissance, à l’évaluation et à la maîtrise des risques (chimiques, physiques, biologiques, ergonomiques) et des facteurs de l’environnement pour la protection de la santé et du bien-être des travailleurs et des membres d’une communauté.

En 2007, le Canada a été le premier pays de la Francophonie à recevoir la reconnaissance officielle de l’Association internationale de l’hygiène du travail pour son processus d’agrément national des hygiénistes du travail. L’Afrique du Sud, l’Australie, les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Italie et les Pays-Bas figurent parmi les autres pays dont le processus d’agrément a été également reconnu.