La saison de basketball des Citadins s’amorcera le 13 novembre prochain, alors que les Redmen de l’Université McGill seront les visiteurs au Centre sportif. Le lendemain, les Citadins seront à Québec pour y affronter le Rouge et Or.
Du côté de l’équipe masculine, Arthaud Plesius, Gregory St-Amand, Éric Côté-Kougnima et Thierry Justin seront de retour et probablement de la formation partante, laquelle devrait être complétée par Adil El Makssoud, Jules Diagne, ou la nouvelle recrue Rasheed Nguinambaye, qui a impressionné l’entraîneuse-chef Olga Hrycak lors des matchs pré-saison.
Outre Nguinambaye, les nouveaux visages de l’équipe seront ceux d’Emmanuel Verreault, Kevin Levy, Frantz Cyr et Kevin Bitondo (transfert de Concordia). Les autres joueurs de retour avec l’équipe sont Mathieu Landry, François Rhéaume, Olivier Hudon et Paul Émile Colas.
L’an dernier, les Citadins ont terminé au troisième rang avec une fiche de huit victoires et huit défaites. Ils ont atteint la finale provinciale, perdant face aux Stingers de Concordia par la marque de 79 à 76. «Durant l’été, les gars ont travaillé plus fort en musculation et les résultats sont là. Ils effectuent de meilleurs tirs en foulée et de meilleures passes. Bref, nous avons suffisamment de talent pour atteindre les séries éliminatoires», conclut Olga Hrycak, qui en sera à sa septième saison à la barre des Citadins.
Jamais deux sans trois?
L’équipe féminine fonctionnera avec seulement dix joueuses, huit anciennes et deux recrues. La formation partante devrait être composée d’Irline Noël, Marjolaine Gauthier-Théorêt, Stéphanie Youakim, Jessica Bibeau-Côté et Karine Boudrias.
La recrue Émie Simard, une de meilleures joueuses du circuit collégial AAA l’an dernier, devrait ajouter du mordant à l’équipe. Catherine Bougie, Selwa Maatoug, Michelle Auger-Bellemare et la recrue Camille Michaud complètent la formation.
L’entraîneur-chef de l’équipe, Jacques Verschuere, espère que son équipe atteindra de nouveau la finale provinciale, comme ce fut le cas ces deux dernières années. «Sauf que cette année, j’espère que nous gagnerons!», dit-il, enthousiaste. Rappelons que les deux dernières finales ont opposé les Citadins et le Rouge et Or de l’Université Laval. «C’est une rivalité qui ne cesse de grandir et c’est bon pour le spectacle», conclut l’entraîneur, également à sa septième saison à la barre de l’équipe.