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L’UQAM publie une étude sur les toits verts

16 avril 2008 à 5 h 04

Mis à jour le 15 octobre 2010 à 15 h 10

Verdis-toit, un comité du Groupe de recherche d’intérêt public de l’UQAM (GRIP) a lancé la semaine dernière une étude sur les toits verts. Celle-ci a été rédigée par Antoine Trottier, étudiant à la maîtrise en sciences de l’environnement à l’UQAM, en collaboration avec Odette Béliveau, directrice de l’entretien des composantes architecturales au Service des immeubles et de l’équipement de l’UQAM, Cynthia Philippe, conseillère au développement durable à l’UQAM et Owen Rose, architecte et président du Centre d’écologie urbaine de Montréal.

Intitulée Toitures végétales. Implantation des toits verts en milieu institutionnel. Étude de cas : UQAM, l’étude dégage les principes généraux s’appliquant à l’implantation de toits verts en milieu institutionnel. On y traite des avantages, nombreux, mais aussi des désavantages et de la faisabilité de ce type de projet. On y recense des toits verts qui existent dans le monde et on y aborde des notions telles que la capacité portante des structures. On y retrouve aussi des schémas qui expliquent toutes les étapes menant à la réalisation d’un projet de toit vert.

Le comité Verdis-toit, qui fait la promotion de diverses démarches favorisant le verdissement du campus de l’UQAM, afin d’améliorer la qualité de vie et l’environnement des membres de la communauté universitaire, espère ainsi sensibiliser le plus de gens possible.

Le rapport est en vente au coût de 20 $ pour les étudiants et de 40 $ pour les institutions et les entreprises, au Centre d’écologie urbaine de Montréal, situé au 3516, avenue du Parc. Les profits serviront à financer la création du Fonds Toit-Vert de l’UQAM.

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Communiqué de presse